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Sources Dr Wyatt Woodsmall, L. Michael Hall, Ph.D. et Bobby G. Bodenhamer, D. Min. et cahier du Praticen PNL de
Acuité sensorielle : conscience du monde extérieur, utilisation de ses cinq sens, permettant des distinctions fines au sujet des informations sensorielles que l’on reçoit du monde.
Analogique : qui se fonde sur des rapports de similitude entre des objets différents. Une sous-modalité analogique varie continuellement de la clarté à l’obscurité, par opposition à une sous-modalité digitale qui est soit active soit inactive: par exemple, nous voyons une image soit en étant associé, soit dissocié.
Ancrage : L’élément déclencheur à un état s’appelle l’ancrage. C’est le procédé par lequel un stimulus externe permet de déclencher une réponse interne. Les ancrages se produisent de manière naturelle, dans tous les systèmes de représentation VAKOG. Ils peuvent aussi être employés de manière intentionnelle, comme avec les marqueurs analogiques ou avec nombre de techniques de changement. Le concept d’ancrage utilisé en PNL dérive de la réaction pavlovienne de stimulus-réponse, un conditionnement classique. Dans l’étude de Pavlov, le son du diapason était le stimulus (ancre) qui amenait le chien à saliver.
Ancrage : gestion des états internes.
Association : Lorsque l’on est associé, on perçoit l’information directement et par conséquent de manière émotionnelle. Lorsqu’un souvenir est vu de façon associée (nous voyons l’image au travers de nos propres yeux, nous ressentons une émotion similaire à celle que nous avons vécue). L’association s’oppose à la dissociation. Dans la dissociation, on se voit « là bas ». Généralement la dissociation supprime l’émotion de l’expérience.
Auditif : l’ouïe, un des systèmes de représentation de base.
Boucles : un cercle, un cycle, une métaphore ou une représentation qui revient à son propre début, de telle sorte que cela crée une rétroaction. Une boucle ouverte : une histoire inachevée. Une boucle fermée : une histoire terminée. Dans les stratégies, une boucle indique une situation, une procédure sans issue : la stratégie n’a pas de sortie.
Cadre « Comme si » : prétendre, présupposer d’une situation qu’elle est réelle et ensuite agir en conséquence comme si c’était vrai. Cela facilite la résolution créative de problèmes en franchissant mentalement les obstacles apparents pour atteindre les solutions désirées.
Cadre : contexte, environnement, niveau méta, une manière de percevoir quelque chose : comme dans le cadre d’objectif, le cadre du « comme si », le cadre de contraste, etc. Le cadre établit les frontières permettant de délimiter ce qui est à l’intérieur et ce qui est à l’extérieur d’un espace donné.
Calibration : développer son acuité sensorielle pour être perceptif à la communication non-verbale (93% de la communication).
Calibration : est un processus consistant à repérer les indicateurs comportementaux lors d’une interaction. Etre à l’écoute, observer l’état interne et les signaux non-verbaux d’un interlocuteur, permet d’enrichir la transmission d’un message (est-il compris), la prise d’information et la compréhension.
Carte du monde : le modèle du monde, la représentation unique que chacun se fait du monde, issu de l’abstraction de nos expériences. Elle est composé d’une carte neurologique et d’une carte linguistique : nos représentations internes (RI).
Catégories de Virginia Satir : les cinq profils de communication verbale et non-verbale, incluant les positions du corps et les styles différents de langage, soit : distrayant, impérieux, ordinateur, apaisant et suppliant.
Changement d’histoire de vie : technique visant à utiliser ses ressources afin de changer l’impact émotionnelle d’une expérience passée ayant des séquelles négatives. Le changement d’histoire de vie a pour but de donner un apport supplémentaire de ressources dans le passé, afin de libérer une personne d’un schéma répétitif négatif.
« Chunking » ou découpage: changer la perception en montant ou en descendant les échelons des niveaux logiques. « Chunking up » (regroupement) signifie monter d’un échelon, induction : cela conduit à des abstractions plus élevées. « Chunking down » (morcellement) signifie descendre d’un échelon, déduction : cela conduit à des exemples ou des cas plus spécifiques.
Clés d’accès oculaires : mouvements des yeux dans certaines directions, indiquant si le processus de pensée est visuel, auditif ou kinesthésique.
Clés d’accès : indiquent les modalités sensorielles que suit la pensée. Elles sont observables par la manière dont une personne utilise sa physiologie et sa neurologie, par la respiration, la posture, la gestuelle et les mouvements oculaires.
Clés : informations fournissant des indices au sujet des structures subjectives de l’autre, comme par exemple les clés d’accès oculaires, les prédicats, la respiration, la posture du corps, les gestes, le ton de la voix et la tonalité etc.
Comportement : toute activité dans laquelle une personne s’engage, de l’activité physique à la pensée.
Conduire (leading) : après avoir établi le rapport, est-ce que l’autre se synchronise, lorsque l’on change ses propres comportements, est-ce ce qu’il suit. Conduire est un test pour vérifier que le rapport est bien établi.
Congruence : état dans lequel sa propre représentation interne fonctionne de manière alignée : ce que la personne dit correspond à ce qu’elle fait. Les signaux non-verbaux et verbaux coïncident. Un état d’unité, de bien-être, d’harmonie intérieure, indique l’absence de conflit.
Connections de base : notion tirée de la neurologie : ce sont les connections neurologiques formées en premier lors de la gestation et que l’on pourrait comparer à la partie « hard » d’un ordinateur.
Conscience externe : état où l’attention et les sens sont dirigés à l’extérieur, vers l’environnement immédiat, tous les canaux sensoriels ouverts et alertes.
Conscience interne : ne pas être dans la conscience externe sensorielle « antennes VAKOG ouvertes », mais à l’intérieur de son propre esprit ; à voir, entendre et sentir ses pensées, ses souvenirs. Un état de transe léger avec l’attention focalisée vers l’intérieur.
Conscient : conscience du moment présent. Conscience de sept plus ou moins deux informations.
Contenu : spécificités et détails d’un événement, répondant aux questions « Quoi ? » et « Pourquoi ? » par opposion au processus ou à la structure.
Contexte : la mise en place, le cadre ou le processus dans lesquels un événement se produit et fournit du sens pour le contenu.
Critères d’objectif : les conditions qui permettent de spécifier un objectif pour le rendre atteignable et vérifiable. Un objectif bien défini est un outil puissant pour s’orienter dans le monde.
Croyances : les généralisations que nous avons faites au sujet de la causalité, de la signification, de soi, des autres, des comportements, de l’identité, etc. Nos croyances sont ce que nous tenons pour « vrai » à n’importe quel moment. Les croyances nous guident dans notre perception et dans notre interprétation de la réalité. Les croyances sont étroitement liées aux valeurs. La PNL a plusieurs techniques de changements de croyances.
Découpage et niveaux logiques : sur quel niveau agir pour instaurer le changement : est-ce sur les capacités, sur les valeurs, sur les croyances…
Description basée sur les sens : information directement observable et vérifiable par les sens ; langage voir-entendre-sentir que l’on peut tester de manière empirique, par opposition aux descriptions évaluatives.
Description multiple : processus pour décrire la même chose depuis différentes positions perceptuelles.
Désynchronisation : offrir différents types de comportements, changer son attitude, afin de rompre le rapport. Cela permet de re-diriger, d’interrompre un état, de mettre fin à une réunion ou à une conversation.
Deuxième position : être dissocié de soi et associé à l’autre ; avoir conscience du sens de la réalité de l’autre.
Digital : se réfère au sens. Le visuel digital est l’écriture sous forme de lettres ou de symboles, le kinesthésique digital est le braille, l’auditif digital se réfère à l’action de penser, de traiter l’information et communiquer en utilisant des mots.
Dissociation V/K : est un moyen visant à prendre distance par rapport à une situation. Cette application est utile au traitement des phobies et des traumatismes.
Dissociation : Lorsqu’un souvenir est vu de façon dissociée (nous nous voyons dans l’image, il n’y a pas ou très peu d’émotion). La dissociation s’oppose à l’association, c’est ne pas être « dans » l’expérience, mais la voir ou l’entendre de l’extérieur, comme en prenant le point de vue du spectateur.
Distorsion : est le processus de modélisation qui nous permet d’introduire des changements dans notre expérience. La distorsion est à la base de la réorganisation des relations dans un ensemble de données. Elle favorise tout acte de créativité. La distorsion peut créer soit des limitations, soit des ressources. Elle se produit lorsque nous utilisons le langage pour mettre une signification, décrire, généraliser et élaborer une théorie à propos de notre expérience.
Ecologie : préoccupation pour les relations générales à l’intérieur de soi et entre soi-même et l’environnement ou le système plus vaste.
Ecologie interne : la relation globale entre une personne et ses pensées, ses stratégies, ses comportements, ses capacités, valeurs et croyances. L’équilibre dynamique entre les éléments d’un système. La vérification écologique signifie que le changement doit être acceptable et cohérent tant sur le plan individuel que sur le plan systémique, c’est une gestion des conséquences.
Elicitation : évoquer un état par la parole, le comportement, la gestuelle ou n’importe quel stimulus. Rassembler de l’information soit par l’observation directe des signaux non-verbaux soit en posant des questions du méta-modèle.
Endotemporel (In Time) : être associé au temps.
Epistémologie : la théorie de la connaissance : comment nous savons ce que nous savons.
Equivalence complexe : schéma de distorsion linguistique où l’on donne une signification au comportement de quelqu’un d’autre d’après des indices observables, sans en avoir vérifié le bien-fondé directement auprès de la personne.
Etat ressource : l’expérience neurologique et physique lorsque l’on se sent dans un état interne + et qui débouche sur un comportement ou une attitude bien adaptés à la situation que l’on doit affronter.
Etat : phénomène holistique d’émotions corps-esprit, humeurs, condition émotionnelle ; la somme totale de tous les processus neurologiques et physiques chez un individu à un moment donné.
Etats primaires : décrivent ces états de conscience à partir du niveau primaire de nos expériences du monde extérieur.
Exotemporel (Through Time) : avoir une ligne du temps où le passé, le présent et le futur sont en face de soi. Le temps peut être représenté par exemple dans l’espace comme avec un plan annuel.
Filtres perceptuels : idées, expériences, croyances, valeurs, méta-programmes, décisions, souvenirs et langage propres qui donnent sa forme à notre modèle du monde et l’influencent.
Généralisation : processus par lequel une expérience spécifique en arrive à représenter toute une classe d’expériences. C’est l’un des trois processus de modélisation en PNL.
Générateur de nouveaux comportements : comment utiliser les compétences des experts.
Gestalt : ensemble de souvenirs reliés et connectés neurologiquement, basés sur des émotions similaires.
Incongruence : être en désaccord à l’intérieur de soi, avoir des parties de personnalité en conflit les unes avec les autres. Dévoilée à travers les réserves que l’on émet, par le fait de ne pas être totalement engagé par rapport à son objectif, par des messages incongruents où l’on trouve un manque d’alignement ou de concordance entre les aspects verbaux et non verbaux de la communication.
Inconscient : tout ce qui n’est pas conscient au moment présent.
Installation : processus consistant à installer une nouvelle stratégie mentale (manière de faire les choses) à l’intérieur de l’esprit et du corps de telle sorte qu’elle opère de manière automatique. On y parvient souvent par l’ancrage, les niveaux logiques, les métaphores, les paraboles, le recadrage, le pont sur le futur, etc.
Kinesthésie : sensations, ressentis ; sensations tactiles à la surface de la peau ou sensations proprioceptives à l’intérieur de son corps, incluant le système vestibulaire ou sens de l’équilibre.
Ligne du temps : est une métaphore pour découvrir les différentes façons dont les individus codifient subjectivement le temps, comment les souvenirs sont stockés mentalement et comment cela influence la perception et le sens donné aux évènements.
Marqueur analogique : utiliser le ton de la voix, les expressions du visage, les gestes ou un contact pour amplifier de manière non-verbale certains mots ou phrases. Les mots ou phrases marqués donnent un message supplémentaire.
Méta : au-dessus, au-delà, au sujet de, à un niveau plus élevé, à un niveau logique plus élevé.
Méta-Etats : un état sur un état : transposer un état corps-esprit (peur, colère, joie, apprentissage) pour supporter un autre état à partir d’un niveau logique plus élevé, et qui génère une gestalt – un état méta. Ce concept a été développé par Michael Hall.
Méta-modèle : un modèle avec un certain nombre de distinctions linguistiques permettant d’identifier, de questionner les schémas de langage utilisés par une personne et qui complexifient la signification dans la communication par la distorsion, l’omission et la généralisation. Il inclut des défis ou questions spécifiques grâce auxquels le langage «malformé » est reconnecté à l’expérience sensorielle et à la structure profonde. En d’autres mots, ce modèle permet d’expliciter : la relation entre nous et la chose perçue.
Méta-modèle utilisation : comment obtenir des informations pertinentes grâce à un modèle linguistique qui propose une vérification et un questionnement du contenu des informations échangées.
Métaphores : Image ou récit permettant de traduire analogiquement une idée ou une situation par une autre. La métaphore peut être une histoire qui communique à l’inconscient.
Méta-programmes : programmes mentaux/perceptuels permettant de trier et d’être attentif aux stimuli, filtres perceptuels qui régissent l’attention et structurent notre personnalité.
Modèle du monde : carte de la réalité, représentation unique du monde qu’une personne généralise pour donner sens à son expérience. La somme des principes opérants d’une personne.
Modèle Milton : comment utiliser le langage pour mobiliser l’inconscient, trouver des solutions ouvrir des possibles. Le Milton Modèle comprend deux grandes catégories, ce sont les figures inversées du Méta-modèle et des figures supplémentaires comme les insertions de questions, les citations…
Modèle TOTE et stratégies : comment mettre à jour un processus interne. TOTE signifie Test Opérateur Test Exit. Ce modèle a d’abord été proposé par Karl Pribam, George Miller et Eugène Galanter dans leur livre « Plans and the Structure of Behavior » en 1960, puis développé comme un modèle de processus neurologique. Le TOTE a fait sa première apparition dans la littérature PNL en 1983 dans le livre de Robert Dilts « Roots of Neuro-Linguistic Programming ».
Modèle : une description, cartographie de comment quelque chose fonctionne ; une copie de l’original.
Modélisation : est le processus qui permet d’analyser, de découvrir la séquence des représentations internes, de comprendre, de reproduire et de transférer une compétence, un savoir-faire, un don ou une expertise.
Mouvements oculaires : mouvements des yeux significatifs du processus de la pensée à un moment donné.
Négociation entre parties : réconcilier deux parties en conflit.
Neuro-sémantique : un modèle de signification ou d’évaluation utilisant d’une part le modèle des méta-états pour articuler et travailler avec des niveaux plus élevés d’états, et d’autre part le modèle de la Programmation Neuro-Linguistique pour détailler le développement et l’expérience humains. Un modèle plus complet et plus riche proposant une manière de réfléchir et de travailler avec la manière dont notre système, neurologique et linguistique, crée du sens (sémantique).
Niveau logique : un niveau plus élevé, un niveau méta qui fournit des informations et module le niveau inférieur. Hiérarchies naturelles d’expériences, dans la structure de notre cerveau, de notre langage, de nos systèmes perceptifs. Quelqu’un peut par exemple dire qu’une expérience était négative à un niveau et positive à un autre. A. Korzybski a illustré ceci avec « La carte n’est pas le territoire » et en mettant en évidence la distinction entre le mot et la chose qu’il représente. Il a aussi démontré que la non connaissance de ces niveaux d’abstraction était une des principales sources de confusion mentale. Puis, Gregory Bateson a identifié quatre niveaux fondamentaux d’apprentissage et de changement. Plus tard, Robert Dilts a développé à partir de ces travaux et de ceux d’autres membres de l’école de Palo Alto, un modèle des niveaux logiques de la pensée et leur mécanisme.
Niveaux méta : se réfèrent à ces niveaux abstraits de conscience que nous expérimentons de manière interne.
Niveaux primaires : font référence à notre expérience du monde extérieur à travers nos sens essentiellement.
Nominalisation : une distinction linguistique dans le méta-modèle ; un processus ou un verbe transformé en nom (abstraction) : un processus figé dans le temps. Les nominalisations sont ces mots abstraits que nous utilisons pour désigner des processus, des actions qui se déroulent dans le temps et l’espace comme : “liberté”, “égalité”, “épanouissement”, “justice”, “décision”, “communication”, “sentiment”.
Noms non spécifiques : noms qui ne précisent pas à qui ou à quoi ils réfèrent.
Objectif bien formulé : savoir fixer des objectifs clairs, précis et motivant. Savoir dépister et gérer les obstacles qui empêchent l’aboutissement d’un résultat.
Objectif : un résultat spécifique désiré, basé sur les perceptions sensorielles. Un objectif bien formulé est un objectif qui répond aux critères suivants : mesurable, spécifique, défini en termes sensoriels, dépendant de soi, contextualité dans le temps.
Omission : la partie manquante d’une expérience, soit dans le langage, soit dans la représentation.
Opérateurs modaux : distinctions linguistiques dans le méta-modèle indiquant le « mode » sur lequel une personne « opère » : le mode de la nécessité, de la possibilité, du désir, de l’obligation, etc. Les verbes (pouvoir, ne pas pouvoir, possible, impossible, devoir, être obligé de, etc.) que nous utilisons pour la motivation.
Parties (de personnalité) : ou sous-ensembles de la personnalité, douées de croyances, d’une intelligence et d’une logique propre. Tout se passe comme si à tour de rôle une personne est en contact avec différents rôles (père, identité professionnelle, sportif…) comme en contact plus avec une « partie de son esprit » qui génèrerait d’autres schémas de référence, incluant les schémas de croyances, les schémas de valeurs, de compréhension, etc. Lorsque l’on demande « Y a-t-il une partie de vous qui a des objections par rapport à cette nouvelle manière de penser, de ressentir ou de répondre ? », on recherche les « conflits internes » à l’intérieur des différentes facettes de notre personnalité, afin de créer plus d’alignement et de congruence personnelle. Lorsque l’on parle de « parties », c’est métaphoriquement et non pas littéralement. En parlant de « parties » on se réfère à certaines manifestations neurologiques comme si elles possédaient leur propre « esprit », séparé du reste du système nerveux, ce qui n’est pas le cas.
Parties : une métaphore pour décrire la responsabilité de différents aspects de notre psyché sur nos comportements. Ces parties peuvent être vues comme des sous-personnalités avec des fonctions ayant leur vie propre ; lorsqu’elles ont des intentions différentes, on peut vivre un conflit intra-personnel et le sentiment d’une incongruence.
Physiologie : la partie physique de la personne.
Pont sur le futur : processus qui vise à évoquer mentalement un événement avant qu’il ne se produise. C’est un des processus-clé pour s’assurer de la permanence d’un résultat, un ingrédient-clé fréquemment utilisé dans la plupart des interventions PNL.
Position perceptuelle : notre point de vue ; une des trois positions mentales : la première position est associée au soi, la seconde position est de se mettre dans la perspective d’une autre personne ; la troisième position se situe à l’extérieur des personnes impliquées.
Positions perceptuelles : comment prendre différents points de vue par rapport à une situation.
Postulats : les bases sous-jacentes à tout travail en PNL, son épistémologie.
Prédicats : sont des mots basés sur les perceptions sensorielles, indicateurs d’un système de représentation donné (prédicats visuels, auditifs, kinesthésiques ou non spécifiques).
Première position : percevoir le monde de son propre point de vue, associé. C’est une des trois positions perceptuelles.
Présuppositions : idées ou suppositions que nous considérons comme acquises pour qu’une communication ait du sens.
Processus universel de modélisation : comment l’être humain construit sa réalité.
Programmation Neuro-Linguistique : l’étude de l’excellence. Un modèle de comment les gens structurent leur expérience ; les structures de l’expérience subjective ; comment une personne programme sa pensée, ses émotions et comportements dans sa neurologie, par le biais du langage et comment elle encode son utilisation du processus, comment elle la stocke et comment elle récupère l’information.
Quantifieurs universels : Une généralisation à partir d’un échantillon vers toute la population – « allness » (tout, tous, jamais, aucun, etc.). Un postulat qui ne permet aucune exception.
Rapport : comment instaurer un climat de confiance avec son interlocuteur.
Rapport : une sensation de connexion avec l’autre, un sentiment de mutualité, une sensation de confiance créés par le « pacing », l’effet miroir et la synchronisation; un état d’empathie ou de deuxième position.
Recadrage : changer le contexte ou le cadre de référence d’une expérience afin qu’elle revête une signification différente.
Recadrage : comment aider l’autre à donner un sens plus favorable à une situation donnée.
Renforcement : ajouter de la vitalité, de l’énergie et des ressources puissantes à une personne ; vitalité au niveau neurologique, changement d’habitudes.
Représentation : une idée, pensée, ou présentation d’une information basée sur les perceptions sensorielles ou sur l’évaluation.
Représentations internes : schémas d’informations riches en signification que nous créons et que nous stockons dans notre esprit, en une combinaison de souvenirs visuels, auditifs, kinesthésiques, olfactifs et gustatifs.
Ressource : une ressource est une aptitude comportementale créative : physiologie, états, pensées, stratégies, expériences, personnes, événements ou contrôles ; que nous pouvons utiliser pour atteindre un objectif, pour résoudre des problèmes qui se présentent.
Sous-modalités : chacune de nos expériences passées, présentes, futures sont codées dans notre cerveau sous forme de représentations sensorielles. Les sous-modalités sont les sous-composantes d’une même modalité VAKOG. Elles permettent une perception extrêmement fine, un peu comme si l’on passait de l’œil nu, à la loupe, au microscope. Elles sont à la base de la qualité de nos représentations internes.
Sous-modalités visuelles : taille, localisation, couleur/noir-blanc, contraste, ombre, luminosité, netteté, perspective, vitesse, scintillement, film/diapositive, associé/dissocié, premier plan/arrière plan, transparent/opaque.
Sous-modalités auditives : localisation du son, timbre ou tonalité, hauteur du son, durée du son, fréquence, mono/stéréo, source interne/externe, rythme, résonance, volume, vitesse/débit, clarté, paroles/mots.
Sous-modalités kinesthésiques : pression, température, texture, poids, étendue, forme, humidité/sécheresse, intensité, tension, localisation.
Stratégie : séquence de pensées-comportements pour obtenir un résultat ou créer une expérience ; la structure de la subjectivité organisée dans un modèle linéaire TOTE (Test-Opération-Test-Exit). Une stratégie est la séquence de représentations sensorielles qu’opère une personne en vue d’atteindre un objectif ou un état désiré. Elle se compose des systèmes de représentations (VAKOG) utilisés et de la séquence d’accès à ces derniers.
Suivre (Pacing) : établir et maintenir le rapport avec l’autre en le rejoignant dans son modèle du monde en reprenant son langage, ses croyances, valeurs, expérience actuelle etc. Indispensable pour créer le rapport.
Swish : passer d’une réaction automatique déplaisante à une autre plus utile et agréable.
Synchronisation : adopter les caractéristiques de l’autre (comportements, attitudes, mots, etc.) afin d’améliorer le rapport et de parler la même langue et le même langage.
Synesthésie : un « sentiment d’ensemble » d’une expérience sensorielle en deux ou plusieurs modalités, une connexion automatique d’un système de représentation avec un autre.
Système de représentation (SR) :comment nous encodons mentalement l’information en utilisant les systèmes sensoriels.
Système préférentiel : le système de représentation qu’une personne utilise le plus dans la pensée et l’organisation de l’expérience.
Troisième position : percevoir le monde du point de vue de l’observateur ; on se voit et on voit les autres en même temps.
VAKOG : les différents canaux de perception et de communication : Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif et Gustatif.
Valeur : ce qui est important pour soi dans un contexte particulier. Nos valeurs (critères) sont ce qui nous motive dans la vie. Toutes les stratégies de motivation ont une composante kinesthésique. Cet aspect kinesthésique est relié à une valeur inconsciente.
Variété requise : flexibilité de pensée, d’émotion, de langage, de comportement ; la personne ayant le plus de flexibilité de comportement contrôle l’action ; la loi de la variété requise.
Verbes non spécifiques : verbes qui ne définissent pas les spécificités de l’action qu’ils décrivent ; il y a omission de l’adverbe.
Visualisation : le processus de voir des images dans son esprit.
Visuel : voir, imaginer, le système représentatif de la vue.